Des mots, des images, pour rêver…
Il faut en semer un peu partout, des mots doux, des mots qui apaisent, des mots rassurants, des mots de soutien pour les enfants nés dans les endroits difficiles de notre monde. Ils pourront s’y accrocher, ne serait-ce qu’un instant, pour entrevoir une réalité différente, pour entendre le chant de la vie sous un ciel étoilé.
Un Livre ! Illustré ou non, de poche ou relié, en format numérique ou papier, un livre de 20, 30, 40, 68, ou 520 pages, petit ou grand, à dévorer ou à savourer lentement, un livre qui vous appartient, que vous pouvez relire, partager, feuilleter, un compagnon de voyage, d’ici ou d’ailleurs… C’est aussi bien qu’un fast-food, un trajet en bateau-bus, un expresso en terrasse, un thé partagé avec des amis, une limonade fraîche, la visite d’une exposition ou une séance de cinéma…
Exp.éditions imaginaires 
Commentaires
7 réponses à « Semeur d’histoires »
il faudrait le rappeler aux chasseurs de pokemon. merci pour cet article.
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C’est vrai je n’y pensais pas à ces drôles de personnages. Sur l’île on a plutôt affaire aux chasseurs de faisans… mais c’est une autre histoire !
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Tu prêches une convaincue de longue date puisque les livres m’accompagnent depuis que je sais lire (et à haute dose) mais c’est toujours bon de te lire ! ;)
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Ça fait plaisir de te voir par ici. Les blogs que je suis et qui me suivent sont presque tous d’ardents lecteurs et des auteurs, mais il y a parfois des visiteurs inattendus, des suiveurs qui font suivre et suivre et suivre encore et encore… jusqu’à…cette petite femme levée très tôt ce matin et seule dans le bus ou cet homme perdu dans son par-dessus sombre appuyé contre un mur sale ou cet enfant qui s’ennuie devant une série télé ennuyeuse ; ils regardent ces mots défiler et se disent « Mais oui, pourquoi pas un livre, ça va me changer les idées, je le retrouverai chaque soir avant de m’endormir, je pourrais partir en voyage malgré mes problèmes d’argent, je pourrais voir la vie autrement, mais oui, pourquoi pas un livre ? ».
J’aime bien imaginer des choses…Belle journée Asphodèle et à bientôt de te lire aussi.
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Je reviens par à-coups, ma vie IRL s’est compliquée depuis un an et ne me laisse pas trop de temps pour bloguer mais je me débrouille pour ne pas perdre de vue « les essentiels »… Je sais que pour moi un livre c’est tout ce que tu viens de dire et plus encore, c’est un saut euphorisant dans l’inconnu, avec des sensations et des vertiges délicieux contrairement à ceux provoqués par le vide… Moi ausi j’aime l’imagination au pouvoir dans nos vies parfois blindées de soucis, quoi de mieux que ces échappées belles pour nous rendre plus fort… Bises à toi et coucou à ton île ! ;)
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J’avoue que j’ai mis un peu de temps à comprendre ce que tu voulais dire par IRL – J’imagine que c’est ta vie en dehors d’internet. J’espère quand même qu’elle ne s’est pas trop compliquée et que tu arrives à remonter à la surface le plus souvent possible. (Ici on passe beaucoup de temps dans et sur la mer et nos images se rapportent beaucoup à elle…) je m’en rends compte en écrivant. Bon courage, notre dicton sur l’île c’est : Arzao hag arzam, Debout et tenons ! Bises et à bientôt.
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Hi ! Pardons, pour le In Real Life… Je t’envie ton île et la mer que j’aimerais à nouveau avoir sous les yeux en me levant (tout le temps en fait). Quant au « Debout et tenons », c’est un peu ça surtout quand on a du mal à tenir debout (au sens propre ) et qu’une personne de 88 ans s’appuie sur vous, ça devient périlleux ! :D Forcément les choses se ralentissent et c’est le virtuel qui en pâtit ! Enfin, si on peut dire ça ! ;)
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