
Le souvenir du temps nomade fait battre mon cœur, les Cheyennes, les Lakotas…
Il n’y avait pas de murs, pas de frontières, les peuples des chemins vivaient sous les nuages errants…
Peuples de la terre, passagers du ciel, ils se rassemblaient et se comprenaient. Loin des lois qui régissent le monde. Ivres parmi l’écume inconnue des cieux…
Mots dont je ne connais plus l’auteur, mots notés sur un carnet pour ne pas les oublier, pour les partager un jour comme celui-ci…












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Merci à vous.
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[…]Les arbres parlent plusieurs langues
Selon l’essence, le ciel, l’endroit
Le bois de l’un prononce mangue
Le bois de l’autre dicte la noix
La langue du bois, la langue du bois
Et quand ses branches se déchaînent
Quoi de plus beau qu’un bois d’ébène
Qui offre le fruit de la joie
La langue du bois[…]
Claude Nougaro
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Un poète ! Un chanteur qui a accompagné bien souvent mes humeurs de lycéenne à l’internat…
« Sur l’écran noir de mes nuits blanches… » – « Une petite fille qui court dans une ville… » – « Un été où je venais d’atteindre mes 14 ans… »
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