Le souvenir du temps nomade fait battre mon cœur, les Cheyennes, les Lakotas…
Il n’y avait pas de murs, pas de frontières, les peuples des chemins vivaient sous les nuages errants…
Peuples de la terre, passagers du ciel, ils se rassemblaient et se comprenaient. Loin des lois qui régissent le monde. Ivres parmi l’écume inconnue des cieux…
Mots dont je ne connais plus l’auteur, mots notés sur un carnet pour ne pas les oublier, pour les partager un jour comme celui-ci…
J’ai découvert la Tiny house il y a quelques jours avec ma fille, et je suis séduite par cette maison nomade, aussi petite et féerique qu’une demeure de hobbit. Proche de la nature, de la simplicité, du voyage ; c’est l’art de vivre avec moins pour travailler moins et vivre mieux.
La perfection est atteinte non pas quand il n’y a rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retirer…
Saint-Exupéry
Cela me rappelle mon dernier déménagement, le poids des objets à transporter, l’agencement nécessaire,la disposition des livres, etc… Il est vrai que j’aspire de plus en plus à une vie épurée, légère, à une proximité avec le ciel, à une nouvelle manière de me déplacer… Je suis séduite par l’idée d’une Tiny House fixe et des déplacements à bicyclette. Cela pourrait être la solution. Une merveilleuse invention, bravo aux concepteurs. Pour l’instant, je me contente de rêver devant les photos, c’est déjà un début…