Si « la clé du bonheur, c’est d’être maître de son temps », comme le conclut le documentariste allemand Florian Opitz au terme de l’enquête qu’il a menée sur les causes de sa propre frénésie, alors ce monde compte peu d’heureux.

Si « la clé du bonheur, c’est d’être maître de son temps », comme le conclut le documentariste allemand Florian Opitz au terme de l’enquête qu’il a menée sur les causes de sa propre frénésie, alors ce monde compte peu d’heureux.
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suivre le rythme du silence, un bonheur créateur…
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