Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si la richesse revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ? Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.
Je ne suis pas une fan de télévision ni des programmes de France 2 mais ce film là me fait rêver, j’ai envie de le voir. On va sûrement en apprendre plus sur les relations humaines, les problèmes économiques, le talent de chacun pour s’en sortir qu’en regardant « Des paroles et des actes » où nos politiques starisés qui se font des clins d’oeil avec les journalistes ne nous apprennent rien sur une possible évolution pour un mieux vivre ensemble.
Un rendez-vous avec la BEAUTÉ
A propos j’ai lu beaucoup de critiques sur le financement des films de Y.Arthus-Bertrand, je me demande si les personnes qui les lancent bien haut sur la toile ou ailleurs regardent la télévision ou vont au cinéma et connaissent les financements de tout ce qu’ils voient sur les médias. Il me semble que L.Besson va tourner son prochain film en Hongrie… Bien ou pas Bien ? Comment sont produits les films, avec quel argent, le sait-on toujours ? Il y a beaucoup de séries imbéciles, de films violents et imbuvables, de comédies débilitantes qui circulent sur les chaînes et ailleurs, cela ne vous choque pas ? Quand la beauté des images et des dialogues est au rendez-vous, ce qui n’est pas si fréquent, vous n’allez pas nous gâcher le moment avec vos propos méchants qui finalement ne tiennent pas la route. Ou alors faites des procès à tous les tournages financés par ??
Grâce au soutien inconditionnel et unique de la Fondation Bettencourt Schueller, de France 2, de Google et de l’AMF, ce projet de la Fondation GoodPlanet sera accessible au plus grand nombre.Toutes plateformes et modes de communication disponibles
Personnellement je préfère que l’argent de ces multinationales servent à créer une oeuvre artistique et engagée plutôt qu’il parte dans les paradis fiscaux.
Je suis un homme parmi 7 milliards d’autres. Depuis 40 ans, je photographie notre planète et la diversité humaine et j’ai le sentiment que l’humanité n’avance pas. On n’arrive toujours pas à vivre ensemble. Pourquoi ? Ce n’est pas dans les statistiques, dans les analyses que j’ai cherché la réponse, mais dans l’homme.
— Yann Arthus-Bertrand
J’ai envie de voir les personnes qu’il a rencontrées, de les écouter dans leur humanité, envie de voir les paysages de notre belle terre, les animaux sauvages encore libres, je ne pourrais sûrement pas parcourir toute la planète d’ici ma mort, je trouve que c’est une chance d’avoir accès à ce film gratuitement. C’est vrai que j’en ai par-dessus la tête de la promotion de la violence, du sombre, du mauvais, je crève de soif de beauté…
Il y a des jours où du fond du cœur un chant monte en puissance ; on a envie de danser et de chanter autour d’un feu, envie de pousser le cri, de devenir Cheyenne et de regagner les plaines. #carbone#climat#générationsfutures#planèteterre #guerre #réfugiés #chômeurs Quand « Le respect des droits de l’homme » est soumis au Capital…
Ce chant de guerre qui monte sur la ville Comme une prière à la lune qui brille Rappelle à ceux qui dorment derrière les grilles Qu’on peut toujours même si c’est pas facile
Devenir Cheyenne Combattre quand même Devenir Cheyenne Regagner les plaines
Je veux te prendre au feu de mes tortures Je veux te faire comprendre tout ce que j’endure Je veux t’apprendre les signes, les peintures Qui protègent mieux que toutes les armures
Devenir Cheyenne Combattre quand même Devenir Cheyenne Regagner les plaines
Tu peux aussi quand la vie te malmène Pousser le cri et devenir Cheyenne Oublie les plumes, oublie les mocassins Pas besoin de costume pour devenir indien
Devenir Cheyenne Combattre quand même Devenir Cheyenne Regagner les plaines Combattre quand même Et briser ses chaînes Devenir Cheyenne
Dans le parc aux lointains voilés de brume, sous Les grands arbres d’où tombe avec un bruit très doux L’adieu des feuilles d’or parmi la solitude, Sous le ciel pâlissant comme de lassitude, Nous irons, si tu veux, jusqu’au soir, à pas lents, Bercer l’été qui meurt dans nos cœurs indolents. Nous marcherons parmi les muettes allées ; Et cet amer parfum qu’ont les herbes foulées, Et ce silence, et ce grand charme langoureux Que verse en nous l’automne exquis et douloureux Et qui sort des jardins, des bois, des eaux, des arbres Et des parterres nus où grelottent les marbres, Baignera doucement notre âme tout un jour, Comme un mouchoir ancien qui sent encore l’amour.
Colchiques dans les près Fleurissent, fleurissent Colchiques dans les près C’est la fin de l’été La feuille d’automne Emportée par le vent En rondes monotones Tombe en tourbillonnant […]
Ferme l’œil de ton corps afin de voir ton tableau d’abord par l’œil de l’esprit. Puis mets au jour ce que tu as vu dans l’obscurité, afin que ta vision agisse sur d’autres, de l’extérieur vers l’intérieur.
— Caspar-David Friedrich
L’esthétisme grandiose, l’homme seul à l’issue de la marche qui se retrouve devant le sublime de la Nature.