Par ce mouvant océan la foule une petite goutte a plu sur moi
Qui m’a chuchoté
Je t’aime et bientôt je mourrai,
J’ai accompli ce long voyage pour te voir simplement, te toucher,
Tant j’avais crainte de mourir sans te connaître,
Tant j’avais crainte de te perdre dans l’au-delà.— Walt Whitman, Feuilles d’herbe
Article : Découvrir Walt Whitman par ses manuscrits






Mise en page des poèmes ©Marie an Avel